La rédaction vous recommande, cette semaine, le livre « Le droit saisi par l’art », sous la direction de Rémy Cabrillac, publié par Lefebvre Dalloz.
L’art nous interpelle le cœur. Un collectif de juristes, mené par le professeur Rémy Cabrillac, décident de s’adresser aussi à notre esprit.
Tout au long des 286 pages de ce livre, les 32 contributeurs ont choisi librement une œuvre livrant leurs émotions et réflexions entre art et droit.
La Nona Ora de Maurizio Cattelan nous interrogera sur la liberté d’expression, L’Homme-requin de Sossa Dede sur la spoliation des œuvres et Le sacrifice d’Isaac du Caravage sur la résolution des conflits.
Le droit saisi l’art
Dans d’autres contributions, le droit saisi l’art. Graffiti is a crime de Banksy soulève la question de la propriété des œuvres de street art tandis que L’origine du monde de Gustave Courbet et Deux femmes courant sur la plage de Pablo Picasso celles de la nudité et de l’exhibition sexuelle.
Le droit saisi par l’art, regard de juristes sur des œuvres d’art, Lefebvre Dalloz, 300 pages, 35 euros.