Les députés se pencheront, fin mars, sur une proposition de loi visant à reconnaître et à sanctionner la discrimination capillaire au travail.
L’Assemblée nationale discutera, les 27 et 28 mars prochains, d’une proposition de loi ajoutant à la liste des discriminations sanctionnées pénalement celle relative « à la coupe, la couleur, la longueur ou la texture des cheveux ».
Selon le député Olivier Serva (Liot), à l’origine de ce texte, les sanctions existantes à ce sujet basées sur le délit de racisme, les discriminations de genre ou d’orientation sexuelles, ne répondent pas à certaines discriminations à l’embauche.
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