Depuis le 1er janvier, tous les producteurs, importateurs, distributeurs de produits non alimentaires n’ont plus le droit de détruire leurs invendus, sous peine de sanctions. Le don à des associations est incité par des réductions d’impôts.
L’interdiction de détruire les invendus impose aux entreprises de revoir toute la logistique des produits non alimentaires qui n’ont pas eu le succès escompté.
Perçu comme un casse-tête par toutes les organisations, de la PME à la multinationale, cette lutte contre le gaspillage est vivement encouragée par des réductions fiscales intéressantes.
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