Une proposition de loi du Sénat veut accélérer la prévention de l’endométriose au moment où la Haute autorité de santé refuse le remboursement d’un test de dépistage.
Le 8 janvier dernier, la Haute autorité de santé a donné le feu vert à la commercialisation d’un test salivaire de dépistage de l’endométriose, mais sans en autoriser son remboursement.
Montant de ce test non invasif ? Environ 800 euros.
À ce prix, les principales concernées par cette maladie hormonodépendante inflammatoire chronique – soit une femme sur dix en âge de procréer – ne sont pas prêtes d’y avoir accès.
Une proposition de loi déposée par la sénatrice LR, Alexandra Borchio Fontimp veut apporter plus de moyens à la prévention de cette maladie gynécologique.
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