Le scandale des « Pandora Papers », révélé par le Consortium international de journalistes d’investigation, soulève la frontière ténue entre optimisation et évasion fiscales.
Un chiffre colossal a circulé sur les réseaux sociaux dès le début du scandale dit des « Pandora Papers » ayant mis en lumière les pratiques fiscales de près de 330 politiques, dirigeants d’entreprises, milliardaires et stars : 11 300 milliards de dollars.
De quoi couper le souffle et scandaliser à juste titre plus d’un, surtout que ces 11 300 milliards ont été présentées par des personnalités politiques françaises comme la somme dissimulée dans les paradis fiscaux, donc de manière illégale. Pourtant, ce n’est pas le cas.
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