Les licenciements, pour « faute grave », de salariés ayant distribué des invendus alimentaires éprouve le strict cadre légal d’un tel don.
Quatre salariés de l’enseigne Starbucks de l’aéroport Marseille-Provence ont été récemment licenciés pour avoir offert des produits invendus à des sans-abris.
L’entreprise leur reproche d’avoir enfreint le règlement interne, interdisant aux salariés de partir avec de la marchandise, même destinée à être jetée.
Le don des invendus alimentaires est strictement encadré par la loi, mais ce geste solidaire méritait-il une telle sanction ?
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