Pointés du doigt par la DGCCRF ou félicités par l’ARPP, les influenceurs n’ont plus d’autres choix que de respecter un cadre juridique inédit.
À la suite de l’adoption définitive de la proposition de loi visant à mieux encadrer l’influence commerciale et à lutter contre les dérives des influenceurs sur les réseaux sociaux, le 1er juin, la direction générale de la consommation, de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) a épinglé six influenceurs pour pratiques commerciales trompeuses.
De son côté, l’Autorité de régulation professionnelle de la publicité a publié, le 6 juin, sa liste d’influenceurs considérés comme responsables selon ses critères.
Ces deux visions, apportant des informations complémentaires aux consommateurs, trouvent leur fondement dans un cadre juridique inédit.
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