Des propos sexistes et racistes constituent une faute suffisamment grave pour licencier un salarié protégé, considère le Conseil d’État.
Un salarié protégé peut être licencié pour faute grave. C’est ce que vient de signaler le Conseil d’État dans une affaire concernant un salarié protégé appartenant à un Club Med.
La juridiction administrative suprême rappelle, à cette occasion, que la liberté d’expression au bureau a des limites.
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